En janvier...
On nous prétend que l'hiver s'étend dans nos contrées de décembre à février. Mais on ne nous dit pas combien il devient cruel fin janvier, profitant de nos forces puisées dans la graisse de Noël !
Vous l'avez deviné, chers lecteurs, il fait froid. Mais pas le petit froid qui invite simplement l'humain à plus de contact avec ses congénères, non ! Là c'est le froid "combi de ski", les vents sibériens et l'instinct de marmotte qui s'abat sur moi comme l'épée de Damoclès sur le fautif.
En effet, il fait un temps à cinéma et à muffin "Miss Chocaholic" (comment les propriétaires du Café Meyerbeer ont-il bien pu savoir que j'apprécie tout autant les pâtisseries dont la composition fait exploser mon "chocolimètre" que les jeux de mots faciles ?)... Mais que nenni ! C'est la tête haute bien qu'enfoncée dans mon écharpe que j'affronte chaque jour le choc thermique de la sortie du U-Bahn pour aller farcir mon cerveau encore malléable de méthode contrapunctique pour le chant lithurgique à trois voix du 16ème siècle ! C'est du Janis Joplin dans les oreilles (ou du Händel, ou du Madonna, ou du Mozart, je suis d'humeur changeante en ce moment) que je défie la nouvelle campagne Diesel qui m'enjoint à délaisser ma volonté de m'élever au rang de génie harmonique ("Be Stupid", ndla).
Vous l'aurez compris, je lutte contre mon habituelle improductivité hivernale !
Je me suis inscrite dans un atelier de théâtre franco-allemand et passe le plus de temps possible à la préparation de mes partiels de fin-février, malgré l'impression qui parfois me taraude d'être en train d'étudier la théorie des cordes en araméen (je plaisante. en klingon plutôt.).
En tous cas bon vent et gardez votre cap !
Manon
Vous l'avez deviné, chers lecteurs, il fait froid. Mais pas le petit froid qui invite simplement l'humain à plus de contact avec ses congénères, non ! Là c'est le froid "combi de ski", les vents sibériens et l'instinct de marmotte qui s'abat sur moi comme l'épée de Damoclès sur le fautif.
En effet, il fait un temps à cinéma et à muffin "Miss Chocaholic" (comment les propriétaires du Café Meyerbeer ont-il bien pu savoir que j'apprécie tout autant les pâtisseries dont la composition fait exploser mon "chocolimètre" que les jeux de mots faciles ?)... Mais que nenni ! C'est la tête haute bien qu'enfoncée dans mon écharpe que j'affronte chaque jour le choc thermique de la sortie du U-Bahn pour aller farcir mon cerveau encore malléable de méthode contrapunctique pour le chant lithurgique à trois voix du 16ème siècle ! C'est du Janis Joplin dans les oreilles (ou du Händel, ou du Madonna, ou du Mozart, je suis d'humeur changeante en ce moment) que je défie la nouvelle campagne Diesel qui m'enjoint à délaisser ma volonté de m'élever au rang de génie harmonique ("Be Stupid", ndla).
Vous l'aurez compris, je lutte contre mon habituelle improductivité hivernale !
Je me suis inscrite dans un atelier de théâtre franco-allemand et passe le plus de temps possible à la préparation de mes partiels de fin-février, malgré l'impression qui parfois me taraude d'être en train d'étudier la théorie des cordes en araméen (je plaisante. en klingon plutôt.).
En tous cas bon vent et gardez votre cap !
Manon